La concurrence entre peuplement humain et peuplement animal est une évidence.
Pourquoi ce sujet est-il encore aussi peu évoqué ?
Nos effectifs sont sans commune mesure avec ceux que la nature "prévoit" pour un animal d'une bonne soixantaine de kilos, un animal prédateur qui plus est.
Où mettrions-nous aujourd'hui les grands animaux qui peuplaient l'Europe autrefois sur un continent qui, désormais, abrite souvent de 200 à plus de 300 habitants par kilomètre carré ?
C'est tout simplement impossible et cela rend caduque beaucoup de nos efforts en matière de protection de l'environnement. Il faut remettre la question démographique au cœur de la problématique écologique.
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La concurrence entre peuplement humain et peuplement animal est une évidence.
Pourquoi ce sujet est-il encore aussi peu évoqué ?
Nos effectifs sont sans commune mesure avec ceux que la nature "prévoit" pour un animal d'une bonne soixantaine de kilos, un animal prédateur qui plus est.
Où mettrions-nous aujourd'hui les grands animaux qui peuplaient l'Europe autrefois sur un continent qui, désormais, abrite souvent de 200 à plus de 300 habitants par kilomètre carré ?
C'est tout simplement impossible et cela rend caduque beaucoup de nos efforts en matière de protection de l'environnement. Il faut remettre la question démographique au cœur de la problématique écologique.